L’arrivée et les douanes

L’arrivée et les douanes

Montréal, Canada, Mars 2015

 

Le trajet Antwerp -Montréal se termine par l’arrivée à bon port du TORONTO EXPRESS; j’aime ce nom de bateau car le transport maritime n’est jamais réellement rapide comme on peut simplement se l’imaginer. Je me présente au bureau des douanes de Montréal, rue d’Youville, première étape permettant de » libérer » la cargaison qui m’est destiné, venant de l’étranger, car celle- ci est considérée comme une importation. Le bâtiment rue d’Youville est grand, la salle est très spacieuse, les guichets sont nombreux mais il n’y a, pour ainsi dire, personne.

 

Bureau des Douanes crédit: Ville de Montréal, photo Denis Tremblay
Bureau des Douanes crédit: Ville de Montréal, photo Denis Tremblay

 

Patiemment, je m’assieds et attends. Je suis invité par un des préposés aux Douanes et ensemble nous vérifions la liste des affaires que je souhaite importer. Il est étonné du détail des documents que je lui ai fourni sur lesquels figures les numéros de boites, l’énumération du contenu de chaque carton: nombre de livres, CD, vinyles, objets divers comme une paire d’enceintes acoustique (speakers ici au Québec) ainsi que les valeurs monétaires requises.

De mémoire, je souris en repensant à notre discussion car il m’a posé des questions sur des appellations qui sont différentes entre le Québec et la France. Oui, je n’ai pas encore tout le vocabulaire québécois mais je m’adapte au cours du temps.

Finalement, je m’acquitte des frais de douanes et obtiens le fameux papier tamponné validant l’importation de mes affaires personnelles et donc de mes précieuses photographies. Je me souviendrai de la phrase du préposé me souhaitant « bonne musique! ».

 

 

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